Perspective

Perspectives des marchés de BMO Gestion mondiale d’actifs pour 2025

Une année de volatilité – et d’occasions?

13 janvier 2025

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Une année de volatilité – et d’occasions?

Nous anticipons une bonne année pour les marchés boursiers, même si l’arrivée au pouvoir de l’administration Trump risque de faire grimper la volatilité.

À l’approche de 2025, la hausse du chômage et la persistance de l’inflation font craindre pour l’état de l’économie. L’arrivée au pouvoir de Donald Trump, qui risque de s’accompagner de nouveaux droits de douane de nature à exacerber les tensions commerciales mondiales, ajoute encore à l’incertitude ambiante. Dans ces conditions, nous anticipons une hausse de la volatilité sur les marchés des actions, des obligations, des changes et des marchandises en 2025.

Autre éventuel vecteur de volatilité : l’inflation, probablement un des éléments les plus marquants du paysage économique des dernières années. À la fin de 2024, l’inflation s’était stabilisée autour de 2 % à 3 % aux États-Unis et au Canada, signe que les hausses de taux d’intérêt mises en œuvre par la Réserve fédérale américaine (Fed) et la Banque du Canada (BdC) avaient fonctionné. L’inflation risque toutefois de persister ou même de repartir un peu à la hausse en 2025 en réaction aux politiques commerciales de Donald Trump. Il est quasiment acquis que celui-ci imposera de nouveaux droits de douane. Reste à savoir quelle en sera l’ampleur et quand ils se feront sentir. Si les États-Unis imposent des droits de douane de 10 % sur les produits canadiens, par exemple, il pourra s’écouler jusqu’à six mois avant que les ménages canadiens commencent à en ressentir les effets. L’évolution de l’inflation au cours de la prochaine année dépendra également des prix du pétrole et du marché de l’habitation. Au total, même si l’inflation risque d’augmenter en 2025, elle ne devrait pas être aussi problématique qu’au cours des dernières années.

De l’évolution de l’inflation dépendra également le nombre de baisses de taux de la Fed. Pendant la majeure partie de 2024, celle-ci a fait preuve de prudence : elle ne voulait pas baisser les taux trop rapidement, au risque de provoquer une flambée de l’inflation. Elle s’est finalement décidée à frapper un grand coup en septembre et a alors abaissé les taux de 50 points de base (pdb); la vigueur des statistiques économiques publiées par la suite a démontré qu’elle n’aurait peut-être pas eu besoin d’en faire autant. En 2025, la Fed attendra probablement de voir comment l’économie et l’inflation évolueront pour décider de la date et de l’ampleur des baisses de taux. Ce qu’il faut retenir, c’est que, pour le moment, l’économie et la consommation restent relativement solides aux États-Unis, si bien que la Fed n’a pas besoin d’en faire trop. Bien que nous prévoyions deux à trois baisses de taux aux États-Unis en 2025 (contre trois à quatre au Canada), mais qu’il est possible qu’il y en ait moins, nous croyons qu’à l’heure actuelle, les marchés anticipent environ une baisse de trop. Cela dit, la diminution des taux devrait offrir un certain répit aux consommateurs des deux côtés de la frontière. Reste à savoir si les baisses seront à la hauteur des attentes.

L’imprévisibilité de Donald Trump complique encore la situation pour les 12 prochains mois et plus. En plus des droits de douane, il a déjà indiqué vouloir se concentrer sur l’immigration, l’efficacité de l’État, les baisses d’impôt et la déréglementation. Les marchés se réjouissent à l’idée d’une diminution des impôts et de la bureaucratie; le problème, c’est qu’on n’en sait pas encore assez sur ce que Trump entend faire exactement. Il a par exemple indiqué vouloir réduire les coûts des soins de santé, mais on ne sait pas trop comment il pourrait y arriver sans subventions gouvernementales et sans nuire aux marges bénéficiaires des entreprises du secteur de la santé. On ne sait pas trop non plus quelle forme prendra le ministère de l’Efficacité gouvernementale proposé par le milliardaire Elon Musk. Où qu’il passe, Musk fait bouger les choses, mais il reste à savoir s’il envisage notamment de sabrer des services importants et de supprimer des emplois comme il l’avait fait quand il avait pris le contrôle de X (auparavant « Twitter »). S’agissant des droits de douane, la seule certitude, c’est que ce sont les pays dont Donald Trump estime qu’ils ne sont pas des alliés des États-Unis qui seront les plus durement touchés. Le Canada pourrait donc être relativement épargné comparativement à des pays comme la Chine ou le Mexique. Les droits de douane pourraient également contribuer à relancer le secteur manufacturier américain et générer des revenus, mais cela reste à voir.

Au vu de toutes ces incertitudes, l’important, au cours de la prochaine année, sera de pouvoir penser tactiquement et de s’adapter rapidement à l’évolution des conditions de marché. L’équipe Solutions d’investissement multiactif de BMO Gestion mondiale d’actifs suit en continu les perspectives d’évolution de l’économie et des marchés, pour repérer les occasions. Cette façon de faire devrait à notre avis jouer en notre faveur en 2025, puisqu’elle nous permettra de réagir rapidement aux politiques de l’administration Trump et à leurs répercussions en aval. Par exemple, en cas d’imposition de nouveaux droits de douane sur les produits chinois, nous pourrions décider de nous servir d’options contre des positions physiques pour créer une structure de rendement asymétrique, ce qui nous permettrait de limiter nos risques de pertes tout en conservant une exposition pour pouvoir profiter des hausses éventuelles. C’est le genre d’outil qui permet à l’équipe Solutions d’investissement multiactif d’obtenir le profil risque-rendement recherché pour nos portefeuilles.

Même s’il ne faut pas s’attendre à des rendements similaires à ceux de 2024, les marchés boursiers devraient rester bien orientés en 2025. Ils finiront probablement l’année en hausse et devraient à notre avis surpasser les liquidités et les obligations. La volatilité risque d’augmenter, mais la solution n’est pas de sortir des marchés en attendant que la tempête passe, et ce d’autant plus que les taux d’intérêt sont en baisse et que l’économie américaine fonctionne à plein régime. Il conviendra plutôt de faire preuve de patience. La croissance ne sera pas forcément régulière. Mais, tous les investisseurs aguerris vous le diront : la volatilité peut créer des occasions.

Les cinq grands thèmes de placement de BMO Gestion mondiale d’actifs pour 2025 :

  1. Nous continuons de miser sur les actions...

  2. … surtout sur celles des États-Unis

  3. Le nombre de titres porteurs va augmenter tout au long de l’année

  4. 2025 sera peut-être l’année des actions à petite et à moyenne capitalisation

  5. Les couvertures peuvent être importantes, et l’or peut encore avoir sa place dans les portefeuilles

Thème 1 : Actions

Même après deux ans d’excellents rendements, nous continuons de miser sur les actions pour 2025 et à les préférer aux titres à revenu fixe et aux liquidités.

En 2024, les marchés boursiers américains, canadiens, EAEO (Europe, Australasie et Extrême-Orient) et émergents ont tous enregistré des rendements positifs dans les deux chiffres. C’est aux États-Unis que la hausse a été la plus marquée, à 33,5 %1. Au vu de la solidité des données fondamentales sous-jacentes (alimentées par les États-Unis) et de la baisse des taux d’intérêt, les marchés pourraient encore progresser en 2025.

Nous surpondérons les marchés américains. Ailleurs, il s’agit de déterminer les régions qui risquent de se ressentir le plus des droits de douane que devrait imposer l’administration Trump et celles qui devraient être les moins touchées. Le Canada devrait être relativement avantagé. En novembre, nous avions relevé notre point de vue sur le Canada à neutre. L’économie canadienne n’est certes pas nécessairement forte (le chômage est en hausse, l’endettement des ménages reste très élevé et les renouvellements de prêts hypothécaires vont peser sur le pouvoir d’achat des consommateurs), mais elle devrait profiter à la fois de la vigueur de l’économie américaine (le Canada étant un des principaux partenaires commerciaux des États-Unis) et de la poursuite de la baisse des taux d’intérêt. Trump ne mettra probablement pas à exécution sa menace de droits de douane de 25 % sur les produits canadiens, mais il faut probablement s’attendre à une augmentation, peut-être de l’ordre de 10 %. La Chine, l’Europe et même le Mexique seront probablement touchés plus durement, mais, là encore, les chiffres seront probablement moins élevés que ce que Trump a annoncé (droits de douane de 60 % sur les produits chinois, par exemple).

Les liquidités sont selon nous la catégorie d’actif la moins porteuse de la nouvelle année : l’époque des certificats de placement garanti (CPG) à 5 % est désormais révolue. Les obligations ne connaîtront pas forcément une année exceptionnelle, mais elles devraient tout de même faire mieux que les liquidités. Tout dépendra des taux d’intérêt : s’ils dépassent les attentes actuelles des marchés, les obligations pourraient tirer leur épingle du jeu. Les perspectives d’évolution des taux d’intérêt n’étant pas les mêmes aux États-Unis et au Canada (les baisses devraient être plus nombreuses au nord de la frontière), nous préférons les titres à revenu fixe canadiens aux obligations américaines. Il n’est toutefois pas exclu que la BdC décrète plus de baisses que prévu et la Fed, moins. Au total, nous préférons les actions aux obligations et aux liquidités.

Taux implicite et nombre de hausses/baisses attendues aux États-Unis en 2025

Graphique montrant le taux d’intérêt implicite et le nombre de baisses attendues aux États-Unis en 2025.

Source : BMO Gestion mondiale d’actifs, Bloomberg, au 6 janvier 2025.

Taux implicite et nombre de hausses/baisses attendues au Canada en 2025

Graphique montrant le taux d’intérêt implicite et le nombre de baisses ou de hausses attendues au Canada en 2025.

Source : BMO Gestion mondiale d’actifs, Bloomberg, au 6 janvier 2025.

Thème 2 : Les États-Unis, toutes voiles dehors

Il nous semble tout à fait justifié de surpondérer les actions américaines en 2025.

Pourquoi surpondérer les actions américaines en 2025? Pour commencer, l’économie américaine est la plus performante au monde en ce début d’année. Il ne faut pas en déduire que les autres régions connaîtront des mois difficiles, même si certains pays, comme la Chine, sont dans le collimateur de Trump. Mais la consommation a bien résisté en 2024 aux États-Unis, ce qui a contribué aux bénéfices des entreprises. Certains grands thèmes de placement, comme l’intelligence artificielle (IA), l’infonuagique et l’automatisation, sont par ailleurs principalement associés aux sociétés américaines et sont donc très présents sur les marchés américains. Et il faut bien le dire : la plupart des plus grandes et des meilleures entreprises du monde sont américaines et elles devraient généralement continuer à engranger de bons résultats en 2025.

La victoire de Donald Trump et ses politiques nationalistes pourraient également jouer en faveur de l’économie américaine, au moins à court terme. Pour le moment, compte tenu de la puissance économique des États-Unis, Donald Trump hérite d’une position de force qui lui permettra sans doute de conclure certains accords dans l’intérêt des États-Unis. Un rapatriement de certaines activités manufacturières sur le territoire américain et une redéfinition des échanges commerciaux en faveur des États-Unis auraient des avantages à long terme. Mais il y a également des risques à long terme, comme d’éventuels droits de douane, des déportations de masse et une intensification de l’incertitude politique (et géopolitique). Il faudra certes surveiller la situation de près, mais les répercussions économiques ne se feront probablement pas sentir avant la fin de 2025 ou 2026.

Rendements des secteurs américains (depuis le début de 2024 et depuis les élections)

Graphique à barres montrant le rendement des 11 secteurs américains en 2024, les technologies et les communications prédominant avec des rendements cumulatifs depuis le début de l’année de plus de 37 % à la mi-décembre.

Source : BMO Gestion mondiale d’actifs et Bloomberg, au 31 décembre 2024.

Thème 3 : Augmentation du nombre de titres en hausse

Face à l’élargissement des marchés et à la hausse de la volatilité, il faudra être capable de se retourner rapidement en 2025.

Pour commencer, notons que, si votre portefeuille est composé de liquidités et de CPG, il vous a moins rapporté que si vous aviez opté pour des obligations canadiennes ou pour des portefeuilles prudents ces deux dernières années. Et, comme les taux continuent de baisser, les taux de rendement des CPG et des instruments du marché monétaire vont eux aussi probablement diminuer. Il est donc probablement temps de revenir sur les marchés boursiers et préférablement de profiter des replis pour le faire.

Deuxièmement, les sept magnifiques (Alphabet, Amazon, Apple, Meta, Microsoft, Nvidia et Tesla) ont connu une progression exceptionnelle en 2024, et nous nous attendons à ce que certaines se maintiennent parmi les chefs de file en 2025 et par la suite. Mais nous pensons également que d’autres actions auront l’occasion de les rattraper.

Cet élargissement potentiel de la tête du marché au-delà des sept magnifiques ne signifie pas qu’il faille tourner le dos à la croissance pour miser exclusivement sur des titres de valeur. Nous recommandons plutôt de rester présent dans certains titres de croissance, dont certains des sept magnifiques, et d’y ajouter des placements dans des secteurs et sur des segments susceptibles de profiter des baisses d’impôts et de la diminution de la réglementation. Nous affichons notamment une préférence pour les titres de valeur ainsi que les petites et les moyennes capitalisations. Mais, cette année plus que jamais, il ne nous paraît pas sage de mettre tous ses œufs dans le même panier. La diversification s’imposera, et il sera également essentiel de pouvoir se retourner rapidement en réponse à la volatilité des marchés.

Troisièmement, du point de vue sectoriel, nous nous attendons à ce que les services financiers donnent de bons résultats à peu près partout. Ils devraient profiter de la déréglementation aux États-Unis, ainsi que de la vigueur relative de la consommation américaine, au vu notamment des perspectives de nouvelles baisses de taux. Les banques offrent par ailleurs des taux de rendement généralement élevés, qui pourraient séduire les investisseurs dans un contexte de baisse des taux d’intérêt (et donc des taux des CPG et des obligations). Nous nous intéressons également à la consommation discrétionnaire, qui devrait profiter des baisses de taux et de leur effet positif sur la confiance des consommateurs, ainsi qu’aux actions des technologies à petite capitalisation. Dans l’ensemble, nous misons sur des entreprises affichant des données fondamentales et un bilan solides, mais qui ont peut-être été jusqu’à récemment freinées par certains obstacles qui commencent maintenant à s’estomper.

Évolution des actions américaines de croissance et de valeur en 2024

Graphique linéaire montrant la croissance des facteurs de croissance et de valeur aux États-Unis en 2024, où les titres de croissance ont progressé de 36,5 % et les titres de valeur, de 14,9 %.

Source : BMO Gestion mondiale d’actifs et Bloomberg, au 31 décembre 2024. Le rendement passé n’est pas indicatif des rendements futurs.

Thème 4 : Petites capitalisations

2024 a été l’année des mégacapitalisations; 2025 sera peut-être celle des petites et moyennes capitalisations.

Les baisses d’impôt et les mesures de déréglementation annoncées devraient permettre aux sociétés à petite et à moyenne capitalisation de revenir sur le devant de la scène.

C’est une question d’évolution des données fondamentales. Au cours des deux dernières années, les petites et les moyennes capitalisations avaient perdu beaucoup de valeur en raison du ralentissement de la croissance économique et de la hausse des taux d’intérêt. Les coûts des plus petites capitalisations étant proportionnellement plus élevés que ceux des grandes entreprises, les sociétés à petite capitalisation sont en effet plus sensibles aux hausses de taux d’intérêt. Les hausses de salaire nuisent également à leurs résultats financiers. Mais la situation a changé : les taux d’intérêt et les coûts salariaux sont en baisse, et l’inflation est beaucoup plus modérée (du moins pour l’instant). Tous ces éléments, conjugués aux baisses d’impôt et aux mesures de déréglementation annoncées par Trump, devraient profiter aux sociétés à petite et à moyenne capitalisation, qui ont d’ailleurs déjà gagné un peu de terrain au lendemain des élections.

Nous privilégions les actions à petite et à moyenne capitalisation de qualité. Nous nous intéressons notamment aux sociétés œuvrant dans certains des domaines les plus porteurs, comme l’IA. Elles bénéficient du potentiel de reprise propre à l’ensemble des sociétés à petite et à moyenne capitalisation, mais pourraient en outre devenir des cibles d’acquisition quand les sept magnifiques et autres grandes entreprises chercheront à croître. Cela revient un peu à investir dans du capital de risque sur les marchés publics.

Évolution des actions américaines à grande et à petite capitalisation en 2024

Graphique linéaire montrant la croissance des actions américaines à grande et à petite capitalisation en 2024, où les actions américaines à grande capitalisation ont progressé de 27,7 % et les titres de valeur, de 14,1 %.

Source : BMO Gestion mondiale d’actifs et Bloomberg, au 31 décembre 2024. Le rendement passé n’est pas indicatif des rendements futurs.

Thème 5 : Or et autres instruments de couverture

Compte tenu de toutes les incertitudes qui attendent les investisseurs en 2025, l’or et d’autres instruments de couverture ont encore tout à fait leur place dans les portefeuilles.

Les actions devraient rester bien orientées en 2025. Mais, compte tenu du caractère imprévisible de Trump et de son nouveau gouvernement, le recours à l’or continue de se justifier pour faire face aux éventuelles poussées de volatilité.

Il faut toujours prévoir ce qui pourrait dérailler et se préparer au pire, même s’il y a peu de risques qu’il se concrétise. Les priorités de Trump sont connues, mais on ne sait pas exactement quels pourraient être les risques. C’est là que l’or entre en jeu, et heureusement pour les investisseurs, il coûte actuellement moins cher compte tenu du repli intervenu immédiatement après les élections.

Malgré tout ce que cela peut avoir de surprenant, l’effet protecteur de l’or sur les portefeuilles est supérieur à celui des titres à revenu fixe. Cela devrait encore être le cas au cours des 12 prochains mois. Nous ne considérons pas l’or comme une source de bénéfice en soi; s’il rapporte, cela veut probablement dire que la volatilité augmente, ce qui est généralement une mauvaise nouvelle pour les actions. Le principal avantage de l’or réside plutôt dans la faiblesse de sa corrélation2 avec les marchés boursiers. Il est également souvent le grand gagnant quand les investisseurs cherchent une solution de rechange au dollar américain. Mais les investisseurs peuvent également se tourner vers des solutions à faible volatilité et les options pour mettre leur portefeuille à l’abri. Les titres à revenu fixe peuvent également être considérés comme une couverture. En effet, si l’économie se détériore de façon inattendue, cela pourrait entraîner plus de réductions de taux que ce qui est actuellement prévu, ce qui serait une bonne nouvelle pour le marché obligataire.

Rendements des produits de base en 2024 (rendement total net en $ CA)

Graphique linéaire montrant les rendements de quatre marchandises (or, cuivre, et pétrole brut WTI et Brent) en 2024, où l’or a dominé avec 24,7 %.

Source : BMO Gestion mondiale d’actifs et Bloomberg, au 31 décembre 2024. Le rendement passé n’est pas indicatif des rendements futurs.
3 Le pétrole brut Brent est souvent considéré comme la référence mondial pour le pétrole, car environ les deux tiers du pétrole mondial sont évalués à partir des contrats à terme de Brent.
4
Le pétrole brut WTI, le « pétrole brut léger non sulfuré », est considéré comme le point de référence américain pour l’établissement du prix du pétrole.

Résumé des cinq volets de BMO Gestion mondiale d’actifs pour janvier 2025

Il s’agit de nos cotes tactiques des cinq volets pour Janvier 2025 dans son ensemble, pas nécessairement 2025 dans son ensemble. Nous mettons à jour nos cotes chaque mois. Veuillez donc vous reporter au rapport mensuel sur les points de vue de BMO Gestion mondiale d’actifs tout au long de l’année pour obtenir une description détaillée de notre positionnement actuel.

Tableau à cinq colonnes détaillant le cadre de référence des cinq volets de l’équipe Solutions d’investissement multiactif BMO, y compris la note tactique pour la répartition de l’actif, les actions, les titres à revenu fixe, les styles et les facteurs.

Source : BMO Gestion mondiale d’actifs, au 31 décembre 2024.
5 La durée est une mesure de la sensibilité des obligations aux fluctuations des taux d’intérêt. Elle est exprimée en années et aide les investisseurs à comprendre dans quelle mesure le cours d’une obligation est susceptible de varier si les taux d’intérêt fluctuent. Essentiellement, la durée permet d’estimer la variation en pourcentage du cours d’une obligation si les taux d’intérêt varient de 1 %.

Solutions d’investissement multiactif de BMO Gestion mondiale d’actifs

Même si nous restons optimistes, compte tenu des excellents rendements des 12 derniers mois et de l’ampleur des valorisations boursières, le moment est peut-être venu pour les investisseurs à long terme d’augmenter leur diversification en misant sur des stratégies d’investissement multiactif comme celles gérées par l’équipe Solutions d’investissement multiactif de BMO Gestion mondiale d’actifs.

Fonds

Thème 1 : Actions

Thème 2 : Les É.-U., toutes voiles dehors

Thème 3 : Plus de titres en hausse

Thème 4 : Petites et moyennes capitalisations

Thème 5 : Or et autres instruments de couverture

Série Conseiller A

Série F

Série FNB

BMO Portefeuille FNB conservateur

X

X

X

X

X

BMO99702

BMO95702

-

BMO Portefeuille FNB équilibré

X

X

X

X

X

BMO99703

BMO95703

-

BMO Portefeuille FNB croissance

X

X

X

X

X

BMO99704

BMO95704

-

BMO Portefeuille FNB actions de croissance

X

X

X

X

X

BMO99705

BMO95705

-

BMO Portefeuille conservateur géré

X

X

X

X

X

BMO99332

BMO95332

-

BMO Portefeuille équilibré géré

X

X

X

X

X

BMO99476

BMO95746

-

BMO Portefeuille croissance géré

X

X

X

X

X

BMO99477

BMO95747

-

BMO Portefeuille actions de croissance géré

X

X

X

X

X

BMO99478

BMO95748

-

BMO Fonds mondial de revenu et de croissance

X

X

X

X

X

BMO99165

BMO95165

-

BMO Fonds canadien de revenu et de croissance

X

X

X

X

X

BMO99163

BMO95163

-

BMO Fonds de revenu mensuel

X

X

X

X

X

-

BMO95148

-

BMO Fonds de l’allocation de l’actif

X

X

X

X

X

BMO99145

BMO95145

-

Fonds individuels

Fonds

Thème 1 : Actions

Thème 2 : Les É.-U., toutes voiles dehors

Thème 3 : Plus de titres en hausse

Thème 4 : Petites et moyennes capitalisations

Thème 5 : Or et autres instruments de couverture

Série Conseiller A

Série F

Série FNB

BMO Fonds mondial d’actions

X

X

X

-

X

BMO99743

BMO95743

BGEQ ($ CA)

BMO Fonds innovations mondiales

X

X

X

X

X

BMO99164

BMO95164

BGIN ($ CA)

BMO Fonds d’occasions de dividendes mondiaux

X

X

X

-

X

BMO99334

BMO95334

BGDV ($ CA)

BMO Fonds d’infrastructures mondiales

X

X

X

-

X

BMO99150

BMO95150

BGIF ($ CA)

BMO Fonds de dividendes

X

X

X

-

X

BMO99146

BMO95146

-

BMO Fonds canadien d’actions à faible capitalisation

X

-

X

X

-

BMO99136

BMO99136

-

BMO Fonds d’obligations de base Plus

-

-

X

-

X

BMO99159

BMO95159

ZCPB ($ CA)

FNB BMO lingots d’or

-

-

-

-

X

-

-

ZGLD ($ CA)



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source

1BMO Gestion mondiale d’actifs et Bloomberg.

2Corrélation : Mesure statistique de la façon dont deux titres fluctuent l’un par rapport à l’autre. Une corrélation positive indique des mouvements similaires (les actifs montent et descendent ensemble), tandis qu’une corrélation négative indique des mouvements opposés (un des actifs monte, l’autre descend).

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